Dernier jour à Lisbonne :
Le soleil est en grande partie avec moi (merci encore mon Dieu!) alors faut en profiter pour remarcher dans mes pas une dernière fois:
Chiado, superbe quartier, mais aussi pour trouver des réponses à mon problème de connexion avec mon ordi (au centre fnac);
avenidade de Liberadade pour revoir la statue du Marquis de Pombal;
Rossio pour les belles grandes places lumineuses et pour m'acheter des noix pour l'aéroport;
Alfama. . . pour Alfama. . . et boire une bière face au Tage;
Mouraria pour revoir la devanture d'un club de fado;
encore Rossio pour une dernière bouffe portugaise (saucisse et frites) et une Sagres (bière). . .
et quoi encore?!
Il aura fait froid parfois pendant mon séjour (peut-être 10 degrés en moyenne) mais je ne me plains pas: seulement 1 jour de +/- pluie sur 17 jours. . . !
J'aurai apprécié le Portugal (dans le désordre)
pour son paysage verdoyant,
l'architecture qui en dit long sur son histoire,
la facilité des moyens de transports et les gîtes économiques en ce temps de la saison,
les azulejos sur les murs,
les pavés de pierres aux motifs originaux,
le vin, le porto, le ginga,
les églises (clin d'oeil à Isabelle),
les pâtisseries aux amandes. . .
J'aurai aimé aussi la région de Sintra, ses palais, son village et la serra en général;
le circuit que je me suis payé vers Obidos - Nazaré - Alcobaca - Batalha - et Fatima;
la vie de quartier du vieux Lisbonne, et particulièrement Alfama;
la mer à Albufeira;
le marché aux produits locaux d'Evora;
les services wi-fi qu'on trouve presque partout gratuitement;
les galoa (cafés au lait)... et les pâtisseries aux amandes (ben oui encore, c'était trop bon)
J'aurai moins aimé (parce que rien n'est parfait)
la bouffe;
l'absence de courtoisie et de galanterie des hommes (je sais, je suis vieux jeu, mais au Québec, on n'en manque pas. . . et puis, soit dit en passant, nos hommes du Québec sont aussi plus beaux ;-);
les trappes à touristes (comme partout dans le monde);
la musique etats-unienne (ils ont pourtant de la bonne musique locale dont le fado);
la ville dortoir de Setubal;
Evora pour le dénuement des maisons et rues (pas de fleurs, pas d'ornement. . . );
le fado déchanté (vous aimez Normand L'Amour? ou tout autre qui chante mal?);
et l'absence de beurre d'arachides (quoique je peux vivre avec ça s'il y a des pâtisseries :-)
Alors voici mon bilan. J'espère que je vous ai donné le gout du pays? !
Sur ce, chao (bye) les amis !
Beijo (bisous)
MF :-*
MF :-*